Plus personne ne nie le changement climatique en cours, sa rapidité, son ampleur, ou l’influence des activités humaines sur le phénomène. En revanche, les avis divergent sur le degré de responsabilité des uns et des autres. Faut-il incriminer la classe politique, prolixe en bonnes paroles mais coupable d’inaction ? Les entreprises – compagnies pétrolières, constructeurs automobiles… - obnubilées par la recherche du profit ? Les consommateurs qui rechignent à se convertir à une sobriété réputée heureuse? Mais y-a-t-il un coupable unique ?