Être un tribun, avoir le don d’enflammer les foules est une voie d’accès au pouvoir pour les apprentis dictateurs. Mais comment expliquer le succès du verbe, le pouvoir des mots et la fascination qu’exercent ceux qui les manient si bien ? Au-delà, y-a-t-il des bons et des mauvais tribuns ? Certains qu’il faut suivre et d’autres qu’il convient d’écarter ?